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Plus que quelques semaines pour réaliser un investissement locatif PINEL !
Parce que nous sommes intimement persuadés que l’art participe à l’embellissement de l’habitat et à l’enrichissement des échanges, nous installons une oeuvre au sein de chacune de nos résidences services.
Le Groupe LP Promotion, convaincu de son rôle sociétal, a mis en place depuis 2017 la généralisation de l'installation d'oeuvre d'art au sein de ses résidences services nouvellement construites. Cette démarche vient marquer la volonté du Groupe de rendre l'art accessible au plus grand nombre et de permettre à tous de vivre au contact d'une oeuvre.
| Retrouvez notre démarche RSE ici |
En moins de 3 ans, ce ne sont pas moins de 7 oeuvres qui ont été installées dans nos résidences. Réalisées par l'artiste Christian Gay, elles nous invitent à prendre quelques minutes pour les contempler. Découvrez-les en images ci-dessous.
"Au XIIe siècle, les poètes Lambert-le-Tort et Alexandre de Bernay s’associèrent pour traduire l’histoire d’Alexandre Le Grand. Pour ce, ils n’employèrent que des vers de 12 syllabes que l’on appela alexandrins. L’œuvre représente ici 12 chevaux au galop à la conquête du monde, Bucéphale, le cheval qu’Alexandre dompta à l’âge de 12 ans, en tête. L’omniprésence du nombre 12 jusque dans “ L’Alexandrin ” composé de 12 signes."
"Située au centre du pôle de recherche aéronautique et spatiale de Toulouse, à deux pas de la célèbre piste de Montaudran, dans le chaudron où l’esprit des pionniers, les plus fous ou les plus visionnaires, se sont forgés. La résidence Soho s’élève vers le ciel, tel un engin spatial à la conquête de l’univers. La tête dans les étoiles, les yeux pleins de rêves, croyez en vous. Explorez, cherchez, imaginez, osez, c’est dans cet état d’esprit que l’on se révèle."
"Cette œuvre est un hommage à Aurélie Ducros, anonyme parmi les anonymes, qui lutta à sa façon contre le mal.
Ce n’est pas un devoir de mémoire, juste les tranches de sa vie pour ne pas oublier qui nous sommes. Le fil de sa vie représente un parc avec des fleurs (féminité), des oiseaux (enfants), un tournesol (soleil) et des nuages (liberté).
Aurélie, dite Marie-Louise, Ducros, née Dudon, “Maman Loulou” - 31746 est l’arbre fort du parc."
"Cette œuvre représente les travaux d’Isaac Newton sur la gravitation des éléments dans l’univers. Elle est représentée ici par une pomme et surmontée d’un œil symbolisant la vision de Newton sur le fait que la science contemporaine s’appuie sur les auteurs précédents d’une manière cumulative. Ainsi, Einstein s’appuie sur Newton qui, lui-même, utilise Kepler et l’on remonte ainsi jusqu’à Galilée et Copernic.
Le langage binaire illustre le fait que la résidence est entièrement connectée et traduit une réflexion de Newton, dans une lettre à Robert Hooke en 1676, qui écrit :
« Si j’ai pu voir aussi loin, c’est parce que j’étais juché sur les épaules de géants ».
Une pensée applicable dans tous les domaines..."
"Cette œuvre est un miroir de la vie. Belle et injuste à la fois. L’oranger, arbre de liberté et l’orange, son fruit solaire, symbolisent la perfection et le paradis où la nature s’offre avec chaleur et générosité. Tout comme une mère. Cette peinture est une réflexion personnelle sur la vie.
Se poser les questions existentielles, sans réponses sauf peut-être derrière le miroir..."
"Les Ondines sont des nymphes des eaux dans la mythologie germanique. Elles fréquentent les fontaines, sources et rivières où elles aiment se baigner à la faveur des jours radieux d’été.
On attribue aux larmes des Ondines l’alimentation en eau des fontaines et celles-ci se tarissent lorsqu’une nymphe se sent offensée.
Saint Germier, évêque de Toulouse (vers l’an 691) évangélisa toute la vallée de la Garonne. Il fit plusieurs miracles en guérissant des malades et en faisant jaillir par son intercession une source d’eau vive. On peut aisément imaginer que cette source, fruit de l’un des miracles de Saint Germier, fut un lieu de délectation pour les Ondines. On raconte aussi, que Saint Germier, se rendant à Ox, traversa Frouzins et qu’aussitôt des fleurs poussèrent sur son passage."
"Inspiré de l’histoire économique de Bègles, le tableau revisite avec modernité le passé industriel de la ville qui s’est tournée, à partir du XIXème siècle, vers l’industrie de la morue.
Salé à bord des navires de pêche, le poisson était acheminé par des gabarres qui remontaient la Garonne puis débarqué à Bègles. Ce petit port fluvial disposait de grands espaces libres et bon marché, car marécageux, que l’on appelait palus, ainsi que d’un climat doux et humide qui en faisait un endroit idéal pour faire sécher le poisson en plein air, suspendu à des pendilles."