Selon les chiffres présentés par la Fédération des Promoteurs Immobiliers (FPI), l’année 2016 se présente comme le meilleur millésime des dix dernières années pour le marché du logement neuf !
En ce début d’année 2017, la Fédération des Promoteurs Immobiliers (FPI) présente les chiffres de l’immobilier neuf en 2016. Le constat est tel que la FPI considère l’année 2016 comme un « très bon millésime ». L’Observatoire de l’immobilier neuf révèle en effet des chiffres prometteurs pour le marché du logement neuf.
Toulouse : une croissance soutenue en 2016
Au gré des années, Toulouse a su devenir l’une des villes les plus séduisantes de France pour acheter et investir dans l’immobilier neuf. En 2016, l’aire urbaine de Toulouse enregistre 7 272 ventes de logements neufs, soit +27% par rapport à 2015. Les ventes se décomposent ainsi :
- +26% sur les réservations à investisseurs soit 5 482 logements neufs
- +29% sur les réservations à propriétaires occupants soit 1 790 logements neufs
Si le marché de l’immobilier neuf à Toulouse est si dynamique c’est notamment d’une part grâce aux dispositifs d’aide à l’accession et à l’investissement (loi Pinel, Prêt à Taux Zéro et Pass Accession Toulousain) mais aussi d’autre part grâce à un maintien des prix du neuf qui ne connaissent qu’une hausse de 2,8% par rapport à 2015 pour l’Aire urbaine de Toulouse, soit une moyenne de 3 461€/m2.
Bordeaux : toujours aussi attractive
Avec l’arrivée de la LGV qui reliera sous peu Bordeaux à Paris en seulement 2 heures, l’immobilier neuf dans la Belle Endormie connaît une attractivité sans précédent. En 2016, ce sont ainsi 9 589 logements neufs qui ont été réservés (+40% par rapport à 2015), soit :
- 6 137 réservations à investisseurs (+31% par rapport à 2015)
- 3 452 réservations à accédants (+57% par rapport à 2015)
A Bordeaux le prix moyen d’un logement neuf s’élève à 3 723€/m2 soit une hausse de 2,2% par rapport à 2015. Bien qu’en 2016 l’inflation soit moins forte que dans la ville rose, le prix moyen au mètre carré y est nettement plus élevé. Cela est notamment aux hausses de prix qu’a subit la ville les années précédentes.